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On peut sécher ses larmes, mais son coeur,jamais

On peut sécher ses larmes, mais son coeur,jamais
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30 juin 2007

Pessimiste moi ?

favoles

Marre, juste marre, encore et toujours marre !!!!!!!!!!!!

Marre de ces vacances de merde, marre de ces exams de merde, marre de cette vie de merde !!!!!!!

Je n'ai plus envie de faire de jolies phrases, de placer des jolis mots, de toute manière personne ne les lira.
A quoi ça sert de toute manière, je suis seule, totalement seule, et totalement muette. Je n'arrive pas à le dire, à le faire franchir la barrière indestructible que semble former mes lèvres.

Cette fois-ci ce sera franc et sans détour, je vais essayer de faire sortir tout ça :

# Je me hais point barre, je hais ce corps difforme, pas la peine de me dire que je suis bien, tout n'est qu'hypocrite. Je me vois bien. Je voudrais juste arracher cette peau qui m'entoure, hurler de douleur mais aussi de soulagement, d'être enfin libérée. Ne plus avoir à baisser le tête, à me rendre compte que dans les yeux de tous je suis moche. Voir le sang couler et me dire que ce n'est que justice après tout.

# Je me hais pour être aussi conne. Si j'étais intelligente, je serais allée en S je le sais bien. Mais regardez-moi toujours à sortir des conneries, à être à coté de plaque. Les préjugés ont toujours un fondement. Jusqu'a présent j'ai du avoir de la chance, ou une prof français qui m'aimais bien, et voila le tour est joué. Une mémoire qui marche de temps en temps et voila le coktail de ma réussite.  Pour continuer le tableau, j'ai aucune psychologie, incapable de dire ce qu'il faut quand il faut. C'est comme la répartie, une répartie de merde.

# Je me hais d'être aussi faible, de faire chier les autres avec mes problèmes de petite fille gâtée. Ils en ont des bien pire, mais moi je ne suis pas forte comme eux, je suis juste une merde. Même mes parents en on marre de moi, c'est un signe !

# Marre de cette jalousie de merde qui fait merde toutes mes histoires. Ou alors ils en juste marre et me voit comme je suis réellement : une merde

Ils me manquent tellement, j'ai tellement peur de faire une gaffe et de les perdre, ou alors qu'ils sen rendent compte à quel point je suis nulle, je suis un boulet.

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23 juin 2007

Tout envoyer en l'air comme le dit la chanson

I

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l n'a pas de plus bel exutoire que les mots, cette petite partie de nous que nous faisons glisser au bout de nos doigts, tantôt ils nous résistent, tantôt ils nous emportent dans leur tourbillon d'ombres et de lumières entremêlés, de rires cristallins et de larmes opaques, de fureur et de passion.

Haine et passion, cela pourrait être un superbe titre pour toutes ces séries américaines ou Hope trompe Ryan avec Jean-Robert son ami de toujours, ancien amant d'une nuit et père caché de Brandon, son enfant qui lui même brule en secret pour Coleen la meilleure amie de sa mère ....
Enfin, je pense que vous voyez de quoi je parle.

Les mots m'ont manqués ces derniers temps. Mon monde carton-pâte semble s'éffondre, les premières ondées ayant pointées le bout de leur nez. Il était pourtant si pimpant, quasiment réel avec ses peintures à l'eau et ses trompe-l'oeil dignes des plus grands artistes. Le rêve a porté de main sans pour autant y mettre le prix, un joli préfabriqué.
Pourtant sans crier gare, mon ciel si protecteur est devenu menacant. Plus rien ne resistait, tout n'était que ruines et désolation. Les pluies acides que répends la vie n'épargnent rien, pas même l'espoir et la candeur.
J'ai toujours cru aux valeurs telles le travail, la droiture, la gentilesse, le pardon ...
Foutaises que tout cela, rien ne remplace la sacro-sainte chance !

J'ai toujours travaillé pour mes contrôles, j'ai toujours bien sagement appris mes cours parce que c'est ce qu'il fallait faire pour avoir de bonnes notes, je n'ai jamais raté une seule dissertation de toute ma vie, ce trimestre j'étais enfin la première de ma classe .... et pourtant le jour du bac pour un petit mot de deux lettres, j'avais tout faux ....
L'ironie c'est que je ne me suis pas rendue compte de mon erreur, je croyais avoir réussis haut la main, un millésime. Magnifique et grandiose désillusion lorsque jme mis à en discuter avec ma prof de français. Il faut monter bien haut pour bien ressentir la douleur de la chute. Superbe blessure de l'orgeuil.
Les dés sont jetés attendont les résultats, l'espoir agonisant.

Mais la n'était pas, du moins au départ, le but de cet article.
Je voulais en quelque sorte écraser ma candeur, la raillier jusqu'a son dernier souffle, la faire plier et reconnaitre sa défaite finale : la vie est injuste, rien ne sert d'être bon, le cynisme seul permet d'éviter de pathétiques sanglots.

Je m'en doutais pourtant. Tout le monde me le répétais, mes amis comme des quasi-inconnus. J'ai y ai cru, j'ai sauté dans ce cratère empli de lave incandescente un sourire innocent aux lèvres.
J'ai y cru que LUI m'aimait, une magnifique histoire avec un avenir adieu et prometteur.
Trop beau pour être vrai. Coupez ! C'est dans la boite !
L'acteur est une starlette de pacotille, hypocrite et opportuniste; l'actrice, une utopiste qui croit encore en son heure de gloire malgrès des années passées à tourner des films de seconde zone. Il y a bien eu ce film, cet espoir à quoi se raccrocher se disait-elle.

LUI, ne m'impressione plus. LUI, n'est plus qu'un tas de cendres dans mon coeur. Moi, toujours gentille, même trop, des envies de vengeance me traversent l'esprit. LUI, s'est fichu de moi, à tourné mes sentiments en un riddicule profond. Il ne faut pas qu'il recommence, jamais, pas avec une autre fille.

Je le hais, le maudit, je voudtais qu'il disparaisse. Je voudrais lui faire mal, toucher son orgeuil, son coeur cela doit être impossible, il n'en est point pourvu.
Je voudrais que mes mots le touchent, que son coeur saigne, qu'il paye, que justice soit faite. Je veux le voir à mes pieds me suppliant de le laisser agoniser en paix, lui arracher sans peine des excuses pénibles. Je voudrais qu'il paie.

Oui je le veux !

1 juin 2007

Ecrire pour oublier

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Et si le présent n'était qu'une abstraction ? C'est vrai, il ne dure qu'un instant, il n'est présent qu'une seule seconde. Il est si vite devenu notre passé, il fut si longtemps notre futur...

Je ne voulais pas que ce blog deviene simplement un exutoire, une suite d'articles larmoyants relatant les peines de coeur et problèmes existanciels qu'une ado comme les autres, ni plus, ni moins. Il est peut être déja trop tard. Tant pis. Je voudrais que ces mots restent secrets, que personne ne pose son regard sur eux, mais en même temps, cette envie folle me titille l'esprit. Une idée quelque peu mégalomane, insensée, stupide aussi, j'aimerai que quelqu'un en lisant se retrouve à travers mes phrases sans réelle logique, dans cette bouteille lancée dans la mer numérique, dans ces mots bien maladroits surement. Qui sait, un jour, il y a quelqu'un qui me comprendra, le vrai moi, pas cette fille qui semble un peu stupide et egoiste sur les bords, moi et non pas cette fille qui ne vit que pour un bout de papier remplit de notes ....

Mais ce n'est pas de cela dont je voulais vous parler, le stéréotype de l'ado mal dans sa peau qui ne semble pas être comprise, on en a déja soupé, un grand classique.
Non, mon idée première en cliquant sur "nouvel article" était de vous parler du destin, enfin dans mon narcissime naturel, de ma vision de cette présence supérieure.

Il est invisble et pourtant il est tout. Il commande tout, et pourtant nous ne savons rien de lui. Il est puissant, implacable. Une force contre laquelle il est impossible de lutter. Le sacro-saint hasard n'est rien pour moi qu'une autre appellation de cette entité.

Pour vous faire un petit racontage de vie, durant une bonne partie de ma vie, je n'ai pas réelement eu de personnes proches, ma famille comme mes "amies" me semblaient des ames floues et lointaines. L'écriture fut un véritable refuge pour moi, mettre de mots sur mes rêves contribuait à les rendre réels, quasiment palpables. Je voulais dialoguer avec eux, m'imaginer habiter leur corps et moi aussi vivre une vie normale, mais surtout je crois, écrire pour oublier que j'étais seule.
Puis, je suis arrivée au lycée et la tout à changé. Je les ai rencontré, ceux qu'aujourd'hui je considère comme ma famille. Grâce à eux, j'ai découvert l'amitié, la confiance, l'amour même, les crises de rires à en avoir mal au ventre, les larmes de bonheur comme de malheur, la stabilité, la vie.
Ce lycée pour moi, est un symbole de renaissance, j'ai changé, pour le meilleur et parfois pour le pire.
Et ca, pour moi, c'est une oeuvre du destin.
Moi qui ne suis pas une lumière, moi qui suis maladroite et gauche, moi qui agit comme une enfant gatée, moi qui suis quasiment diforme, moi que je ne supporte pas, moi j'ai réussi à trouver des gens comme eux.

Vous trouvez surement que j'exagère, mais ils sont tout pour moi, et c'est justement maintenant alors que certains doivent partir vers d'autres horizons que je le réalise. Ironie, sacrée ironie, décidément tu me suis partout.

Un article pour ne rien dire ? Tant pis ....

Mais le destin prend aussi un malin plaisir à nous surprendre, à nous faire des petits clin d'oeil par-ci par-la. Encore aujord'hui j'en ai eu la preuve. Peut-etre que l'on doit lui faire confiance, aveuglement, sans se
poser de questions, sans écouter nos objections.
" The faith was strong, but you needed proof "

Je sais que celui que je connais pas, celui qui est fait pour moi viendra, j'ai confiance, j'ai la foi. Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir j'ai cette idée en tête. Il appartient au futur, je connais rien de son passé, il reste un mystère, mais je crois que j'ai envie de percer de ce mystère. Et puis, il faut bien croire au coup de foudre non ?

20 mai 2007

Juste une envie

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Parfois les mots veulent sortir, sortir de notre tête, se libérer de notre réfléxion. Peut-être cherchent-ils le bonheur ailleurs ?

J'en parle très peu. J'espère que peut-être en les mettant dans un coin de ma tête ils me laisseront tranquilles, eux ces doux souvenirs que ma mémoire sélective aime me jeter au visage, eux qui sont comme de fins éclats de verre qui lacèrent mon coeur. J'essaie vraiment, je veux que tu cesses d'hanter mes rêves de ta tendre présence, je veux que ton parfum ne fasse plus naitre de frissons sur ma peau, je ne veux plus que ton nom s'imprime dans mon coeur chaque fois un peu plus dès que je suis dans les bras d'un autre. 
Crois-moi j'essaie, souvent en vain.
Je sais très bien que le passé est mort. Il s'est éteint doucement, sans vraiment que dans le tumultes de mes erreurs je ne m'en rende compte. Je sais que tout est de ma faute, j'ai peu à peu injecté ce venin dans ce petit bout de paradis.
Tu n'es plus le même, tu n'es plus LUI.
LUI, je ne saurais comment le décrire. C'est un ange, un présent divin, un espoir, une prommesse de bonheur, d'avenir. Il était tout ce que j'attendais, mon double, quelqu'un qui me comprend, quelqu'un que je comprend. Emmenée dans cet élan du coeur, j'y ai cru à tous ces monts et merveilles, à ce futur radieux, d'ailleurs comment aurais-je immaginé ma vie sans lui ? Ces espoirs foux, ces promesses en toc me donnaient une raison d'y croire. Il m'aimait pour ce que j'étais, avec mes petites qualités et mes nombreux défauts. Je ne voulais pas le laisser partir, je l'ai étouffé.
Le temps a fait son oeuvre, la vie aussi, me voila seule, et LUI s'est envolé je ne le retrouve même plus dans ses yeux.

Je revendique mes erreurs, si c'était à refaire je referais quasiment tout à l'identique.  La fin ne pouvais être que la séparation. C'était le moment.

Pourquoi ? Parce que je crois qu'il était temps. La magie des premiers amours c'est de croire qu'ils ne s'arreteront jamais. Nous n'avions plus rien à nous apporter, et ce changement n'était qu'une question de temps. Cela nous bouffait plus qu'autre chose, nous n'avions plus rien à faire ensemble. Il faut savoir enterrer ce qui est mort.Si aujourd'hui ces souvenirs tournent en boucle dans ma tête, si pour l'instant je ne peux envisager de partager ma vie avec quelqu'un, c'est parce que l'amour est une des pires maladies. Elle nous apporte l'espoir pour ensuite nous le retirer, un sourire ironique peint sur ses lèvres. Les mots nous blessent bien plus que les actes. La convalescence peut en être très longue. Avant de chercher à construire quelque chose à deux, peut etre faudrait-il déja se construire soi-même.

Instant Musical : Pour lire il suffit de cliquer sur play et éventuellement attendre que ca charge. Simplissime. J'aime ces chansons tant pour leur paroles que pour leur mélodies.

With or Without you de U2.

She is my Sin de Nightwish

17 mai 2007

Histoire de varier les registres

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Ne croyez pas que ma vie soit une large plaie béante. J'ai la chance, depuis que suis entrée au lycée d'ailleurs d'avoir à mes côtés une bande d'amis incroyable. Une petite équipe très soudée, qui a résisté à de nombreuses tempêtes, un navire qu'il est bien difficile de couler.
Malgré mes lubies, mes maladresses, mes erreurs, jamais mes larmes n'ont coulées sans qu'ils soient à mes cotés pour apaiser leur flot continu.
Je parle ici de mes vrais amis,et non pas de mes mirages qui peuplent notre passé. J'évoque ceux dont on se souvient des années plus tard, ceux avec qui nous avons une histoire, ceux qui sont tels une famille.

Souvent en vagabondant sur les blogs d'autres adolescents, je lis souvent que leur petit(e) ami(e) sont tout pour eux (mais il faut avouer que ce sont le plus souvent les filles qui sont les auteurs de ces mots), que même si ils (elles) se sont eloignées de leurs amis, ce n'est pas grave car TU seras toujours la ... et blablabla insipide et vide de sens maintes et maintes fois égrainé.

M'ayant déja laissée aller à de tels élans, que je qualifie avec du recul de purement stupide, lorsque Jules (ou Juliette) vous aura froidement laissé tombé pour aller voguer vers d'autres distractions (ne vous méprenez pas, même si pour le moment tout vous semble idyllique, la fin n'est jamais loin croyez moi), ce sera sur les épaules compréhensive de vos amis chez qui vous allez pleurer la mort de votre amour. L'amour n'est à notre âge (17 ans pour ma part), qu'une chimère, une passage ô combien romantique qu'il faut vivre en ayant conscience qu'il ne durera qu'un temps, cela éviterai des souffrances inutiles.
La tentation est grande d'y croire, de se dire que c'est pour la vie, qu'enfin on s'est trouvés, qu'on a juste besoin de LUI ou d'Elle. Non ce seront EUX, vos amis, avec qui il y a des chances que cela dure pour la vie.

Après tout, c'est tout aussi beau comme vision non ? Amis pour la vie ...

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17 mai 2007

Ils devraient jamais

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Je ne suis pas dans leur peau, je ne peux pas vraiment comprendre; c'est surement ce que beacoup de personnes penseraient après avoir lu cet article.

J'ai toujours vécu dans une famille sans histoire : mon père est focntionnaire, ma mère, quand elle s'est arrêtée de travailler peu après ma naissance. Aucun frère et soeurs, il était bien trop tard. La seule particularité résidait dans le fait que ma grand-mère paternelle vivait à l'étage. L'harmonie régnait, un petit bout de quiétude et de sérénité dans les tumultes qui remuent le monde. Bien sur, il y avait des conflits, trois générations dans la même maison, cela peut parfois causer quelques petites frictions, surtout lorsque mère et belle-fille se rejettent sans cesse sous couvert de grands sourires en toc.

L'hypocrisie, voila le fléau qui ronge enfait ma famille. Surement pensez-vous que j'exagère, c'est possible, mais mon ressenti ne change rien aux faits. L'adolescence nous permet de grandir, et donc d'ouvrir les yeux, de comprendre ce qu'il se passe. Les mots prennent alors tout leur sens, on parvient à capter les sous-entendus. Ces phrases qui durant toute mon enfance me paraissaient un refrain habituel et sans importance, devienent une réalité frappante. Les " Je n'aime plus ton père, je reste uniquement pour que tu puisse grandir avec lui" répétés sans cesse commencent alors à résonner de plus en plus fort dans ma tête. Ils m'ont toujours dit que c'était des histoires de "grands" que je ne devais pas m'en méler, toujours sur le ton que l'on prend lorsqu'on tente d'expliquer quelque chose de délicat à un enfant. Comment ne pas m'en préocuper alors que je suis justement au centre de leurs disputes ? Si je n'étais pas venue au monde, une petite séparation avec les traditionelles larmes aurait suffi à régler le problème. Mais cette fois-ci, il y a moi, le corps étranger comme le dit Nathalie Sarraute.
Je suis une "contrainte" selon le mot de mon père. Je suis "coupable" selon mes propres mots.
Il n'y a rien à faire, je suis trop jeune, on ne m'écoutera pas, je suis L'ADO. Je ne suis pas Anne, je suis l'ado, une personne à ménager à tout prix. Je suis forte, je sais que l'amour n'est qu'une chimère.
Même si quelques fois les larmes me montent aux yeux, il ne faut pas qu'ils les voyent, alors le mensonge s'en trouvera d'autant plus ancrée et justifié à leurs yeux.
J'essaie en vain de trouver une solution, une issue, cette petite lucarnes qui nous fait parvenir les quelques rayons lune qui animent la nuit. Me mette du côté de l'un ou de l'autre ne fera qu'excerber les tensions, et je ne veux pas choisir ! Non je ne veux pas !
Je me relis et il me semble que cela est le cri d'un petit enfant qui refuse d'aller se coucher. Pathétique et risible.

Si j'ai souhaité évoquer cela dès mon premier article ce n'est pas pour me faire plaindre, simplement pour essayer de sortir tout cela de ma tête. Je ne veux pas en plus charger mes amis avec mes problèmes, des millions d'enfants les ont et les traverseront encore après moi. Mais je voudrais juste faire comprendre que ...

Les parents ne devraient pas cacher la vérité à leurs enfants, elle leur éclatera aux yeux tot ou tard. Ce n'est pas de cette manière que vous les protégerez.

17 mai 2007

Présentation

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Un blog ni tout à fait comme les autres, ni tout à fait différent. Un anonyme dans la masse des blogs déja présents sur le net. Peu de visiteurs s'attarderons sur ces pages. Tant mieux, je préfère la discrétion. Et puis, il est plus facile de se confier quand on sait que ses paroles ne seront que des mots vains dispersés dans le vent.

Qui je suis ? Rien de bien transcendant. Une adolescente, qui je l'espère ne ressemble pas à tous ces stéréotypes de poupées barbies superficielles. Il est vrai que je me laisse aller à de grands élans de romantisme désespéré, mais ils ne sont qu' éphémères, mon cynisme étant des plus tenaces.
Certains diront que c'est l'adolescence, ca passera. Peut-etre que oui, peut-etre que non. Personne ne connait les fluctuations de l'avenir.

Pour me décrire plus précisément :

- Plutôt drole (souvent involontairement)
- Pessimiste
- Ecrivain ratée à ses heures
- Paniquée de l'avenir, angoisée chronoique
- Prend toujours trop les choses à coeur
- Timide maladive
- Complexée depuis l'enfance
- Jalouse notoire
- A vous de voir pour le reste ...

Bonne visite et n'hésitez pas à laisser des commentaires.

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